« Moment pré­sent », « pou­voir dire stop », « trou­ver la moti­va­tion », « faire son deuil »…

Avec l’en­tre­prise Bio­flo­ral (près d’Es­pa­la­dous, en Auvergne), c’est trois pro­fes­sions sinis­trées d’un coup : les psy­cho­logues clinicien·nes, les her­bo­ristes, et les pharmacien·nes, qui de fait passent pour des mar­chands d’huile de cou­leuvre.
J’ai envie de lan­cer des pla­ce­bos mai­son, sous la marque Bio­foi­ral, et je vous demande : quelle pré­ten­tion thé­ra­peu­tique pour­rait-on pro­po­ser, et peut-on me faire des éti­quettes jolies ?
Ma pre­mière gamme Bio­foi­ral serait

• Non aux nou­velles ver­rues !
• Se faire une rai­son à la réforme des retraites
• Gérer son impa­tience aux Urgences
• Vivre zen son can­cer
• Faire son deuil de l’AAH
• Mal au dos mais content·e
• Mieux encais­ser les vio­lences sexuelles
• Pour un autisme jovial
• Trou­ver une cau­tion pour louer un appart

Vous m’ai­dez ?

Et si vous vou­lez savoir sur quoi s’est basé Edward Bach, pour sa « théo­rie » (révé­lée par Dieu, il le raconte lui-même), j’ai fait

• ce livre-là, Les fleurs de Bach, enquête au pays des élixirs (2008) chez Book-e-book
• un article ici (qui a fou­tu la bazar à l’a­ca­dé­mie de phar­ma, j’ai racon­té là)
• une bro­chure mar­rante ici, « Élixirs Flo­raux de Bach, quin­tes­sence d’une illu­sion », avec une sorte de jeu dont on est le héros, libre accès, je m’é­tais bien mar­ré.