Le gars qui m’a fait cette magni­fique murène s’ap­pelle Nico­las Per­ruche. Non, pas celui de l’af­faire Per­ruche, l’autre, celui qui fait de la séri­gra­phie à Mon­treuil.

 

Vla t’y pas que j’ai reçu ça ! Magni­fique cof­fret de jeu. J’y suis cité comme réfé­rence, donc il ne peut être fon­ciè­re­ment mau­vais.

En tout état de cause, je n’ai pas encore joué avec, mais rien que la charte gra­phique et le sujets sur les cartes me rap­pellent le bon vieux temps : l’é­poque à l’o­deur de noi­settes et de feuilles mortes, qui vit Nico­las Vivant, Sta­nis­las Antc­zak et moi inven­ter (du moins croire inven­ter) le concours de mau­vaise foi.

Le site pour ache­ter le jeu est . Le gar­çon qui a été l’ar­ti­san de cela s’ap­pelle Auré­lien Nico­leau, et il est sym­pa.
Je regrette l’en­cou­ra­ge­ment sur les réseaux sociaux à aller l’a­che­ter à la FNAC (Fnac Dar­ty, ancienne pro­prié­té de Fran­çois Pinault, 37ème for­tune mon­diale, et désor­mais pos­sé­dée par Ceco­no­my, 3ème entre­prise d’Al­le­magne en terme de vente en détail) ou pire encore chez Ama­zon (Jeff Bezos, 1ère for­tune mon­diale). Il vaut mieux le faire com­man­der par votre dis­tri­bu­teur local, ou aller sur le site d’Aste­roid-Games. Don­ner aux pauvres plu­tôt qu’aux riches déjoue l’ef­fet Mat­thieu, et fait souf­fler le vent de la jus­tice sociale dans les sour­cils.

L’effet Mat­thieu

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