Je résume : une nou­velle dis­ci­pline uni­ver­si­taire s’est créée, la 91, sciences de la rééducation/réadaptation.
Ça a été le fruit d’une haute lutte, j’en ai vu quelques aspects. Or le pro­cess est un peu brin­gue­ba­lant. Un·e doctorant·e par exemple ne peut pas avoir une pra­tique cli­nique auprès des patient·es du ser­vice public, au motif qu’on ne peut pas lui faire deux contrats… Un peu Sha­dock, n’est-ce pas ? Et il y a bien d’autres pro­blèmes.
Aus­si des professionnel·les de san­té se sont regroupé·es dans LE COLLECTIF 91, et envoient une supplique/pétition qui s’ap­pelle :
Pour des sta­tuts per­met­tant une juste recon­nais­sance des fonc­tions de soin, d’ex­per­tise, d’enseignement et de recherche des pro­fes­sion­nels de san­té
Et pour connaître quelques pro­blèmes de près, je pense qu’il n’est pas vain de la relayer, s’il reste quelque chose en nous de T̶e̶n̶n̶e̶s̶s̶e̶e̶ bien public.
Mer­ci !

1 réponse

  1. Za dit :

    C’est une vieille his­toire… en 2008 j’ai vali­dé à Lyon I (Claude Ber­nard) une licence en « sciences et tech­niques de la réadap­ta­tion », pro­po­sée en paral­lèle des études para­méd (kiné, ortho etc) dont l’ob­jec­tif était le même. Ça avait donc com­men­cé en 2005. Aucuns des diplô­més n’a sans doute jamais rien fait de sa licence (à part peut-être mettre en pra­tique les ensei­gne­ments du cours de réédu­ca­tion des troubles sexuels).
    On n’est pas ren­dus…

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