L’énoncé est là.
Réponse : l’un des chanteur est le fiston de Richard Asher, père du paradoxe du même nom et élément de la gamme des effets contextuels :
« Si vous pouvez croire avec ferveur à votre traitement, même si des études contrôlées ont démontré qu’il est pratiquement sans effet, alors vous obtiendrez de bien meilleurs résultats, vos malades iront beaucoup mieux, et vos revenus aussi. Cela explique le succès remarquable de certains de nos confrères les moins doués mais les plus crédules, ainsi que le rejet violent des statistiques et des études contrôlées par les médecins à la mode »
Richard Asher, Talking sens, Jones F.A., Ed. Pitman Medical, Londres 1972, p 47.
J’avais découvert Asher dans un petit livre superbe, de Skrabanek & McCormick, idées folles, idées fausses en médecine, lu il y a au moins 15 ans, livre je pense recommandé soit par Henri Broch soit par Jean Brissonnet. C’est page 14. De mémoire, l’un des auteurs avait été suspect de lien d’intérêt non publics avec une industrie du tabac.
Il y a trois personnes qui ont trouvé. Le premier s’appelle Nicolas Villemin, sur Facebook. Les deux autres sont @Agyrtis et Arthur Cavagné alias @aartkaa, sur Twitter. Gloire à eux, et looooongue vie. Je leur enverrai une vraie prière de barrage de brûlure comme promis.
Commentaires récents