25 ans que je me pose la question, et j’ai enfin eu la réponse, par Erick Fearson, « tarologue, écrivain, conférencier, formateur, chasseur de fantôme (sic!) » hier dans un replay de France Bleue Alsace du 3 juin, au micro de Ségolène Alunni.
Vers 4 mn 15
Erick Fearseon : « Si on doit faire une définition super objective d’un fantôme, un fantôme est une masse d’énergie concentrée qui va modifier l’environnement dans lequel il se manifeste par des méthodes, entre guillemets, paranormale. C’est-à-dire qu’on ne connaît pas encore aujourd’hui ».
Ségolène Alunni : « D’accord. Que la communauté scientifique n’a pas encore vraiment définie ».
EF : « Exactement ».
SA : « Ça pourrait être le cas ».
EF : « Pour le définir, encore faut-il l’expliquer, encore faut-il attraper un fantôme l’emmener en laboratoire le disséquer, heureusement ce n’est pas encore arrivé ».
SA : « On peut communiquer avec un fantôme ? »
- « Oui » (etc., etc.)
Je pense que je peux faire un exam à mes étudiant·es sur l’indigence de ces échanges (il y en a une heure comme ça, j’ai tout écouté). Et la « vraie » caution arrive à la fin, avec le sociologue Jean-Bruno Renard, qui à ma grande surprise n’émet pas de critique sur les propos tenus.
Merci Noé Lelon de m’avoir indiqué cette magnifique perle journalistique.
Commentaires récents