Les livres en peau humaine…
J’apprends que si la Loi française interdit la vente de restes humains, le Code de déontologie des commissaires-priseurs, lui, est plus souple, quand il s’agit d’objets composés de restes humains qui sont un bien culturel sans équivoque (comme des livres en peau humaine…). C’est la copine Juliette Cazes qui me…
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