S’il y a bien un fan­tôme inter­gé­né­ra­tion­nel qui se trans­met et fait des dégâts, c’est bien la psy­cho­gé­néa­lo­gie.
Mer­ci Méta de choc
pour cette émis­sion ! Il y a 2 ans, je me suis fait par­ve­nir la thèse épui­sée (et épui­sante) d’Anne Ance­lin Schüt­zen­ber­ger Contri­bu­tion à l’étude de la com­mu­ni­ca­tion non ver­bale 1978 (thèse de doc­to­rat d’État, Paris, Sor­bonne, 1976, Univ. Paris VII, Univ Lille III. Librai­rie Cham­pion, Paris, 2 vol.).
C’é­tait pour pré­pa­rer la relec­ture du livre de mon pote « Zin­zin » alias Nico­las Gaillard « Les illu­sions de la psy­cho­gé­néa­lo­gie » chez Mar­da­ga. Un must have.

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