En 2011, avec les étudiant·es Clara Barrau, Solène Gentil, Charles Tudo, Emmanuelle Vallet & Thomas Victorion, nous avions planché sur les crimes et leur lien supposé avec la pleine lune. Nous avions réussi à trouver des données par mois, et avions tenté une analyse d’éventuels pics avec les mois contenant deux pleines lunes (le travail, très stimulant, est ici)[1]. Alors j’étais ravi quand il y a un peu plus d’un an et demi, l’adjudant-chef de gendarmerie Nicolas Halle, technicien en identification criminelle et coordinateur d’opérations criminalistiques (gestionnaire de scènes de crimes) m’a parlé de son DU de criminologie en cours, avec un mémoire qu’il allait centrer justement sur ce thème. Encadré par Julie Leonhard, maîtresse de conférence en droit privé et sciences criminelles à l’Université de Lorraine, il a produit ce travail, sur une question trop souvent traitée en surface. Bien sûr, ce n’est pas une revue systématique de littérature, ni un travail de statisticien, mais il a de beaux mérites, et offre une très jolie recherche. J’ai pu y apporter quelques éclairages (lunaires), de même que mon vieux camarade de labo de zététique Jérôme Bellayer. Merci Nicolas de permettre la reproduction de ce mémoire : à télécharger en pdf.
[1] Il y en eut d’autres, d’ailleurs : voir ici les dossiers 22.39, 23.02, 23.03, 23.61, 24.03, 25.56, 34.09, sur la page recensant tous les dossiers. Mot de passe : Z.
Bonjour,
Le lien vers le « travail, très stimulant, de 2011 est mort ! RIP !
Richard, avez-vous le super-pouvoir de le ressusciter ?
Merci d’avance
miraaaaacle !!!!