Siru­peux. Mar­rant de voir com­ment ça s’est orga­ni­sé, autour de Michael Jack­son et Quin­cy Jones, voir Har­ry Bela­fonte mon chou­chou… Mais… aucune ana­lyse poli­tique, de rien ! Ni des pour­quoi des famines, ni du fait que Bob Gel­dof fut un relais de la pro­pa­gande du régime éthio­pien (c’est Rony Brau­man qui me l’a­vait racon­té, il avait fait un article là msf-crash.org/fr/acteurs-et-pr). Ni que les paroles sont bien théistes (« As God has shown us by tur­ning stones to bread »). Il y a a un chan­teur qui dit un truc comme « on dit qu’on donne, mais on donne quoi, au fond ? ». 1000 ans avant cette chan­son, Ber­nard de Clair­vaux écri­vait que « L’enfer est plein de bonnes volon­tés ou dési­rs ». 40 ans après, la faim est tou­jours là.
The grea­test night in pop, de Bao Nguyen (2024). Décon­seillé aux dia­bé­tiques.

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