887 sta­tues Moaï sont recen­sés sur Rapa Nui, ancien­ne­ment nom­mée île de Pâques, mais cer­taines sont cer­tai­ne­ment encore cachées. ©Get­ty – Mar­ko Sta­vric Pho­to­gra­phy

L’ef­fon­dre­ment de l’ef­fon­dre­ment !

L’ef­fon­dre­ment éco­ci­daire de l’île de Pâques, voi­là une idée que j’a­vais ava­lée toute crue en son temps, après lec­ture de Jared Dia­mond et de son livre épo­nyme.

Puis j’ai enten­du des rumeurs, jus­qu’à écou­ter Laurent Tes­tot qui a mis la pre­mière calotte docu­men­tée, lors d’un café Col­lapse à Gre­noble, il y a quelques années (mer­ci @Ecologie Ration­nelle pour l’in­vi­ta­tion).

Et là,  Nature vient de plier le game*. Il n’y a pas eu d’ef­fon­dre­ment.
(Ne me deman­dez pas, par contre, pour­quoi le Musée de l’Homme de Paris « pos­sède » des corps de gens Rapa nuit, ça… Fau­drait ptet pen­ser à les rendre).

*Ancient Rapa­nui genomes reveal resi­lience and pre-Euro­pean contact with the Ame­ri­ca’s, 11 sep­tembre 2024. On peut entendre la co-autrice Anna-Sap­fo Malas­pi­nas ici sur France Culture résu­mer le tout.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *