France Inter, va fal­loir un peu se cal­mer, car faire la pro­mo de théo­ries qu’on décor­tique comme pseu­dos­cience, nous, à l’u­ni­ver­si­té, et faire croire avec une psy­cho-coach-gra­pho­logue que des « études scien­ti­fiques prouvent la fia­bi­li­té (de la psy­cho­gé­néa­lo­gie) » alors que nous, ces études, on les cherche, ce n’est pas un « ser­vice public » que vous ren­dez aux gens qui vous écoutent (vous aviez déjà lais­sé faire Ali Rebei­hi il y a quelques jours, le 10 jan­vier : « Qu’héritons-nous vrai­ment de nos ancêtres ? »).
Pour savoir pour­quoi la psy­cho­gé­néa­lo­gie est à mettre au gre­nier des théo­ries moi­sies (je pèse mes mots, j’ai même lu la thèse de Mme A. A. Schût­zen­ber­ger), coup de chance ! Les Édi­tions Mar­da­ga a publié ce livre de mon ami Nico­las Gaillard « Les illu­sions de la psy­cho­gé­néa­lo­gie – Nos ancêtres ont bon dos ! », dont le titre résume tout.
Pour se condam­ner à cher­cher la rai­son de ses tour­ments actuels dans des « cryptes » ou des « fan­tômes » généa­lo­giques à des aïeux à qui on peut à peu près faire tout dire, c’est là, émis­sion de Mat­thieu Noel, 24 jan­vier : « Psy­cho­gé­néa­lo­gie, l’hé­ri­tage de nos ancêtres ».
Pas mer­ci, Madame Eve­lyne Bis­sone-Jeu­froy, d’en­voyer nos cama­rades souffrant·es dans des impasses.
Je prends votre livre et je cale mon armoire avec.

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