Pour en savoir plus on peut
- lire l’enquête de Madame Barral
- zieuter « Études publiques, éditeurs privés » que j’ai écrit avec Camille Noûs dans Manière de Voir/ Monde Diplo en octobre.
Une remarque m’a été faite : au fond, peu importe, de la fraude il y en a partout, qu’il y en ait en science n’est pas étonnant.
Certes, mais primo, notre méthode scientifique est censé « livrer » les résultats au plus près de la réalité. Le taux de « fausseries » devrait y être moins grand, vu tous les garde-fous qu’on y installe. Secundo, nous sommes payé·es pour penser, et donc en tant qu’intellectuel·les, on a moins d’excuse de faire des choses déviantes , d’autant qu’on a un salaire. Je comprends bien mieux les doctorant·es qui fraudent par exemple, car leur survie peut en dépendre.

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