Si ce qu’on appelle savamment le penis captivus est fréquent chez les canidés (ici le renard roux – j’adore la tête que fait celui ou celle de gauche), chez les Humains, c’est presqu’assurément un mythe, ça n’a pas existé. Ou alors il faut y inclure des cas de serrage vaginal violent, ça oui, mais un vrai penis captivum : pas trace. Et franchement, c’est pas plus mal, non ?
Tiens, parmi les trucs que j’ai lus et qui méritent le détour, « Note sur cinq cas de pénis captivus », par le Dr Vic de Fourcault, 1881
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